Campagne d’affichage

Gleeden

L’adultère ne date pas d’hier.
Pour ses 10 ans, le premier site de rencontres extra-conjugales pensé par des femmes adopte un nouveau ton de communication.

Agence Brigit pour Gleeden | Cléopâtre

Le challenge

L’infidélité existe depuis la nuit des temps et concerne autant les hommes que les femmes. Mais elle est pourtant particulièrement mal perçue lorsqu’elle est pratiquée par ces dernières.

Comment changer le regard du public sur un sujet tabou, porté par une marque qui dérange ?

Agence Brigit pour Gleeden | Joséphine
Agence Brigit pour Gleeden | Margot

La création

Les affiches présentent les femmes célèbres qui ont marqué l’histoire. Des femmes qui en osant avoir des amants se sont affranchies du carcan de la morale sexiste de leur temps. 

Conseillés par Virginie Girod, docteure en histoire (il ne fallait pas se tromper), Brigit a retenu Cléopâtre, La Reine Margot, la Marquise de Pompadour, la Marquise de Montespan et l’Impératrice Joséphine.

Si la direction artistique sobre rappelle volontairement les codes culturels, les accroches jouent sur le registre de la connivence. Un ton décalé propice à dire que Cléopâtre avait aussi César comme Jules.

Agence Brigit pour Gleeden | Montespan
Agence Brigit pour Gleeden | Pompadour
« Cela fait bouger les lignes, on dit que les femmes n’étaient pas que les maîtresses des hommes, qu’elles pouvaient aussi choisir leurs amants et assumer leurs fantasmes » Magazine Stratégiesn°2003

Une continuité en digital

Pour continuer de faire vivre la campagne, chaque affiche portait un QR code menant vers de « petites histoires d’infidélité », récits des aventures amoureuses de nos égéries, contées par Virginie Girod.

Une landing page dédiée permet toujours de découvrir leur histoire : https://www.gleeden.com/histoire

Une campagne complétée par une étude réalisée en partenariat avec l’IFOP

« En France, environ trois quarts des femmes (77%) déclarent que leurs proches sont généralement plus choqués quand c’est la femme qui est infidèle plutôt que l’homme. Ce chiffre révèle que la population féminine risque toujours plus de stigmatisation sociale que les hommes lorsqu’elle a des relations extra-conjugales ».

Agence Brigit pour Gleeden | Étude IFOP

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